Les saints Anges gardiens

Nouveautés 2008


« Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux. »
(Mt 18, 10)





  Septembre-Octobre 2008

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  Prions les uns pour les autres

Dans la supplication et l'action de grâce, joignons nos prières à celles des correspondants de l'Association.


  Le Nom de Jésus

Jésus veut dire en hébreu : "Dieu sauve". Lors de l'Annonciation, l'ange Gabriel lui donne comme nom propre le nom de Jésus qui exprime à la fois son identité et sa mission. Puisque "Dieu seul peut remettre les péchés" (Mc 2, 7), c'est Lui qui, en Jésus, son Fils éternel fait homme, "sauvera son peuple de ses péchés" (Mt 1, 21). En Jésus, Dieu récapitule ainsi toute son histoire de salut en faveur des hommes.
Dans l'histoire du salut, Dieu ne s'est pas contenté de délivrer Israël de "la maison de servitude" (Dt 5, 6) en le faisant sortir d'Égypte. Il le sauve encore de son péché. Parce que le péché est toujours une offense faite à Dieu, Lui seul peut l'absoudre. C'est pourquoi Israël en prenant de plus en plus conscience de l'universalité du péché, ne pourra plus chercher le salut que dans l'invocation du nom du Dieu Rédempteur.
Le nom de Jésus signifie que le nom même de Dieu est présent en la personne de son Fils fait homme pour la rédemption universelle et définitive des péchés. Il est le Nom divin qui seul apporte le salut et Il peut désormais être invoqué de tous car Il s'est uni à tous les hommes par l'Incarnation de telle sorte qu' "il n'y a pas sous le ciel d'autre nom donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvés" (Ac 4, 12). (...).
Le Nom de Jésus est au cœur de la prière chrétienne. Toutes les oraisons liturgiques se concluent par la formule "par notre Seigneur Jésus-Christ". Le "Je vous salue, Marie" culmine dans "Et Jésus, le fruit de tes entrailles est béni". La prière du cœur orientale appelée "prière à Jésus" dit : "Jésus-Christ, fils de Dieu, Seigneur, prends pitié de moi, pécheur". De nombreux chrétiens meurent en ayant, comme Sainte Jeanne d'Arc, le seul mot de "Jésus" aux lèvres.

Catéchisme de l'Église catholique, n° 430 à 432 et 435.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


  Nous devons invoquer souvent notre ange gardien

S'il est vrai que notre bon ange est sans cesse auprès de nous, toujours occupé à nous secourir et à nous combler de toutes sortes de faveurs ; s'il est vrai qu'il est la puissance, la lumière, la bonté, et nous la faiblesse, les ténèbres, la misère ; s'il est vrai que son crédit auprès de Dieu est immense, que faut-il en conclure ? Que nous devons avoir à cœur de tourner vers lui des regards suppliants, et de lui adresser de ferventes prières.
N'est-ce pas le simple bon sens qui le dit ? Que fait le pauvre quand il est à côté d'un riche généreux et bienfaisant ? Il lui parle de sa détresse, de ses besoins, et le conjure de lui venir en aide. Que fait le malade devant le médecin ? Il lui dit ses souffrances et lui demande de les soulager. Que fait l'ignorant quand il rencontre un savant ? Il lui expose ses doutes, ses difficultés, et le prie de les résoudre.
N'est-ce pas l'exemple que nous donnent tous les saints, tous les vrais chrétiens ? Quel est celui d'entre eux qui ne se soit fait un devoir et un bonheur d'invoquer souvent son ange gardien ? Quand on lit la vie et les écrits de Saint François de Sales, pour ne parler que de lui, on est frappé de son zèle à prier non seulement son ange gardien, mais encore l'ange gardien de son diocèse, des paroisses qu'il visitait, des personnes avec qui la Providence le mettait en rapport.
N'est-ce pas notre intérêt ? Oh ! qu'elles seraient nombreuses et précieuses, les grâces que nous recevrions, si nous étions bien fidèles à cette pratique ! Nous verrions se réaliser pour nous les belles promesses faites par Notre-Seigneur à la prière en général : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte (Lc 11, 9).
Ayons donc à cœur d'invoquer souvent notre bon ange.

D'après l'abbé P. Feige, adapté de L'Ange gardien, Pierre Téqui, 1910.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


  Le festin

Les anges ont vu le Père céleste aller au-devant de son enfant, - dont Il m'avait confié la garde - se jeter à son cou, l'arroser de ses larmes. Ils ont entendu le cri de son cœur.
"Vite, apportez le plus beau vêtement pour l'habiller. Mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds. Allez chercher le veau gras, tuez-le ; mangeons et festoyons, car mon fils était perdu, et il est retrouvé ; il était mort, et il est revenu à la vie". (Lc 15, 22-24).
Les anges ont obéi : ils ont rendu au jeune homme les marques de sa dignité et de son rang. Ils ont dressé la table, allumé les flambeaux, tressé les guirlandes.
Aux ministres du sanctuaire d'orner l'autel du sacrifice, de préparer la victime, d'immoler l'Agneau divin qui veut se donner Lui-même en aliment.
Le vin des consolations coule à pleins bords ; les mets délicieux sont apportés. Ce ne sont plus seulement quelques miettes tombées des tables où siègent les princes : c'est l'universalité des biens surnaturels.
Le Seigneur dit à ses fils aînés :
"Vous qui n'avez jamais éprouvé les amertumes de l'absence, ni les privations du dénuement, ni la pesanteur de l'esclavage, ni les rigueurs de la disgrâce, soyez dans l'allégresse, et par vos accords, devenez les interprètes de deux cœurs séparés qui se retrouvent".
À cette invitation du Père de famille, les célestes musiciens établissent leur orchestre au-dessus de la table du festin et se disposent à chanter les délices de la fête.
Pour la conversion d'un seul pécheur, ils expriment plus de joie que pour la persévérance de quatre-vingt-dix-neuf justes (cf. Lc 15, 7).

D'après l'abbé G. Chardon, Mémoires d'un ange gardien, Librairie Catholique, Clermont-Ferrand, 1873.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


  L'ange de l'abandon (2)

Quand nous ne sommes plus dépendants de ce que les autres pensent et attendent de nous, de la faveur qu'ils nous accordent, de la valeur qu'ils nous reconnaissent, alors nous entrons en contact avec notre vérité profonde, avec notre Soi.
Mais l'abandon implique que je renonce aussi à moi-même. Je ne dois pas chercher à rien fixer de moi-même, ni mes soucis, ni mes peurs et mes angoisses, ni mes sentiments dépressifs. Bien des gens se crispent sur leurs blessures ; ils ne peuvent s'en défaire. Ils s'en servent pour accuser ceux qui les ont blessés. Or, ce faisant, ils s'interdisent en fin de compte à eux-mêmes de vivre. Il nous faut abandonner aussi les blessures, les offenses qui nous ont été faites. Nous avons besoin de l'ange de l'abandon dans la sérénité pour nous initier à l'art de renoncer à nous-mêmes et à notre passé, pour nous rendre capables d'une distance suffisante d'où, situés au-delà de nous-mêmes, nous puissions considérer notre vie dans une autre perspective. Qui s'est ainsi, en quelque sorte, laissé aller lui-même peut réagir avec sérénité à l'agitation véhiculée par les médias, répondre sereinement aux critiques et aux refus dont il fait l'objet ; il n'est pas pris de panique à la moindre objection. Il ne se sent pas menacé. Il n'a pas peur que quiconque mine le sol sous ses pieds, car il a pris du recul face à toutes les agitations extérieures et intérieures. Il se sait soutenu par l'ange de l'abandon, qui lui dit : "Il y a plus important que l'opinion que les autres ont de toi. Il y a plus important que le succès et que ton image. Abandonne-toi, et plonge en Dieu. Là, tu trouveras un sol résistant ; de là, tu pourras porter un regard serein sur tout ce qui afflue vers toi".
Qui s'est abandonné peut réagir avec un serein détachement à de mauvaises nouvelles. Réagir ainsi n'équivaut pas à accueillir avec impassibilité l'annonce d'une mort. L'impassibilité est l'expression d'une discipline intérieure. Bien qu'il soit au fond de lui-même bouleversé, l'être impassible n'en laisse rien paraître au-dehors ; il se maîtrise lui-même et garde sa contenance.

Anselm Grün, o. s. b., 50 anges..., Petit traité de spiritualité au quotidien, Albin Michel.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


  L'ange de la route

Nous avons devant nous les statistiques impressionnantes des morts et des blessés dans des accidents de la route, qui atteignent presque numériquement les désastres des guerres du temps passé. Les progrès de la science et de la technique placent donc l'humanité devant un problème inattendu qui s'ajoute au grand et terrible problème des inquiétudes humaines actuelles, dont la solution apparaît incertaine et menaçante.
Eh bien, très chers fils, permettez-nous maintenant, pour rappeler les devoirs de conscience concernant les dangers de la route, d'indiquer, selon la doctrine de l'Église, une protection céleste sûre et très précieuse, qui représente un des points resplendissants de l'enseignement chrétien : c'est-à-dire l'intervention des phalanges angéliques, créées par Dieu pour son service et envoyées par la Très Sainte Trinité pour la protection de la Sainte Église, de ses fils, du monde entier.
Cette protection est dans l'usage de la bonne vie chrétienne une dévotion qui occupe, dans l'esprit de celui qui sait bien la pénétrer, une place d'honneur spéciale et est un motif de douceur et de tendresse. Permettez que notre voix qui s'est élevée pour un avertissement paternel et ému en faveur du respect de la vie humaine, de toute vie, de la sienne et de celle des autres, retrouve ici, vers la fin de notre conversation, les premières notes du langage angélique, que nous sommes heureux de répéter avec l'accent le plus ému, comme celui de l'Angélus. (...).
L'appel suppliant à l'intervention des anges, chargés de veiller sur notre enfance et notre pèlerinage... Ne croyez-vous pas, chers fils, qu'il réussira à toucher celui qui est saisi par la fascination trompeuse et grisante de la vitesse, au point d'imposer finalement le respect absolu et universel des lois qui règlent le trafic ? (...). C'est pour cela que notre désir est que l'on augmente la dévotion envers l'ange gardien. Chacun a le sien et chacun peut converser avec les anges de ses semblables.

Bienheureux Jean XXIII, message, Ce que dit le Pape/Les Anges - Le Sarment/Fayard.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


29 septembre - Saint Raphaël, archange

  L'ange de la joie

L'archange guérisseur confère à ses protégés un esprit joyeux. La protection et la guérison des maladies physiques et mentales, les dissolutions des épreuves semblent émaner de cette joie surnaturelle. "L'ange Raphaël est l'ange de la joie. Les personnes qui l'ont honoré d'un culte ont généralement reçu le don d'action de grâces dans une mesure plus qu'ordinaire ". (Père Faber). Une douce lumière le précède qui dispose à une joie sereine, et déjà cette joie enseigne la vérité, le bon chemin. Il n'a pas besoin de parler, ce qui émane de lui suffit. La rencontre avec l'ange semble tout actualiser en nous, de notre vie (fautes, épreuves, injustices...), du monde qui nous entoure visiblement et invisiblement. Il (r)éveille en nous les vérités de la Foi. Il nous montre l'amour de Dieu pour nous, depuis notre conception (...).
Quand l'ange bon est là, le ciel est là. Et l'âme le perçoit comme ce qui correspond le plus à son essence, son originalité et sa finalité. La rencontre avec l'ange est par dessus tout la rencontre avec un habitant du Royaume de la lumière sainte, de l'amour, de la vérité et de la liberté pure. Et cela est la source d'une joie indescriptible. C'est un "coup de bonheur" !
La venue de l'ange semble nous "dépoussiérer" et nos laver autant que révéler nos plus secrètes ambiguïtés : il paraît nous mettre en état de grâce... (...).
La joie profonde serait de rester toujours en compagnie de l'archange Raphaël ; près de lui, la créature éprouve le sentiment d'être déjà arrivée au bon port, au havre de paix. Ce pur esprit communique libération joyeuse mêlée de respect infini. Près de lui, on comprend mieux le sens vrai de la crainte de Dieu. Sa joie, sans doute augmentée par la repentance du pécheur (cf. Lc 15, 10), se complète de la nôtre, en l'action de grâce.
Le mauvais ange crée un vertige, et nous fait entrer insensiblement dans la démesure. Malgré la joie et le bonheur dont il nous comble, le bon ange, Raphaël, nous garde à notre place, et dissipe toute griserie. Il veille à nous maintenir dans la sobriété, l'humilité, l'effacement. Ses faveurs ne contrarient jamais le simple exercice du devoir d'état.

Marc Lorient, Saint Raphaël, "Le Sceau de l'Ange", Éditions Bénédictines.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


2 octobre - Saints Anges gardiens

  Députés à notre sauvegarde

Telle est la dignité de nos âmes, que chaque homme dès le premier moment de sa naissance reçoit un ange délégué à sa garde, et ainsi la nature humaine, qui par ses fautes avait perdu le droit à la félicité éternelle, se trouve placée sous la tutelle des saints anges et arrive, par leur secours, au royaume éternel. Mû par ces considérations, nous avons trouvé convenable et nécessaire de ne pas borner nos hommages à la Toute-Puissance divine qui régit ce monde, à la Vierge Mère de Dieu, mais de les adresser aussi à ses fidèles serviteurs les anges, qui se réjouissent de notre conversion et la célèbre par des jours de fête, dit le saint évangile, mais surtout aux très saints esprits que nous savons être députés à notre sauvegarde, qui veillent sur nous pendant notre sommeil, nous assistent dans notre prière, nous défendent sur terre et sur mer, purifient notre esprit et notre corps, nous provoquent à la vertu, élèvent nos pensées vers Dieu, nous consolent dans nos peines et nos épreuves, quand nous sommes sous les étreintes de la maladie et de la mort prochaine, nous font visite, nous fortifient, nous défendent contre l'esprit du mal, et après nous avoir donné la victoire, nous accompagnent au ciel ou au purgatoire. Sans ce secours providentiel, l'infirmité humaine ne saurait être en sécurité.
C'est pourquoi nous voulons honorer par une fête solennelle, par une tendre dévotion et des sacrifices, ceux dont le Dieu tout-puissant se sert pour l'exécution de ses volontés. Après avoir institué autrefois, quand nous nous occupions de la réforme du calendrier, la fête de l'ange propre et avoir obtenu pour elle la confirmation apostolique, poursuivant aujourd'hui cette pieuse entreprise, nous voulons, d'accord avec notre chapitre, que cet office soit un office canonial ; il sera porté avec ce titre sur la table du chœur, et tous les ans sera célébré par un des archidiacres, ou le chantre, ou le sacriste, ou l'ouvrier, ou l'un des chanoines.

Bienheureux François d'Estaing (1462-1529), Vincent Klee, Les plus beaux textes sur les saints Anges, NEL.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2008.


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