La dévotion au Sacré-Coeur de Jésus

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Amendes honorables


La première amende honorable adressée au Sacré-Cœur dont nous ayons la trace est celle qui se trouve dans le livret conçu par la Mère de Soudeilles et paru à Moulins en 1686. Il est certain que cette forme de prière tenait une grande place dans la vie de Marguerite-Marie, qui insiste beaucoup tout au long de ses écrits sur l'importance et la valeur de la réparation. Dans le livre du Père Croiset, paru en 1691 se trouve également une longue formule d'amende honorable, approuvée par la sainte de Paray-le-Monial, qui lui avait écrit à ce sujet : "Je ne doute pas qu'Il (Jésus-Christ) n'y ait travaillé pour vous, puisque le tout, si je ne me trompe, est si parfaitement de son agrément, que je ne crois pas qu'il y faille rien changer". C'est celle que nous donnons ci-dessous. Du XVIII° au XIX° siècle, l'amende honorable suivra le même chemin que l'acte de consécration : d'un plan individuel, il passera au plan collectif : on ne demandera plus à être pardonné pour ses propres fautes ou celle d'un seul inconnu, mais pour toutes celles commises par la communauté.


Amende honorable du Père Croiset (1656-1738)

Très adorable et très aimable Jésus toujours rempli d'amour pour nous, toujours touché de nos misères, toujours pressé du désir de nous faire part de vos trésors, et de Vous donner Vous-même tout à nous ; Jésus, mon Sauveur et mon Dieu, qui, par l'excès du plus ardent et du plus prodigieux de tous les amours, Vous êtes mis en état de victime dans l'adorable Eucharistie, où Vous Vous offrez pour nous en sacrifice un million de fois chaque jour ; quels doivent être vos sentiments en cet état, ne trouvant pour tout cela dans le cœur de la plupart des hommes, que dureté, qu'oubli, qu'ingratitude et que mépris ? N'était-ce pas assez, ô mon Sauveur, d'avoir pris pour nous sauver, la voie qui Vous était la plus rude, quoique Vous puissiez nous témoigner un amour excessif à beaucoup moins de frais ? N'était-ce pas assez de vous abandonner pour une fois à cette cruelle agonie, et à ce mortel accablement que Vous devait causer l'horrible image de nos péchés dont Vous Vous étiez chargé ? Pourquoi vouloir encore Vous exposer tous les jours, à toutes les indignités dont la plus noire malice des hommes et des démons était capable ? Ah ! mon Dieu et mon tout aimable Rédempteur, quels ont été les sentiments de votre Sacré Cœur à la vue de toutes ces ingratitudes et de tous ces péchés ? Quelle a été l'amertume où tant de sacrilèges et tant d'outrages ont plongé votre Cœur ?

Touché d'un extrême regret de toutes ces indignités, me voici, Seigneur, prosterné et anéanti devant Vous, pour Vous faire amende honorable aux yeux du ciel et de la terre pour toutes les irrévérences et les outrages que Vous avez reçus sur nos autels depuis l'institution de cet adorable Sacrement. C'est avec un cœur humilié et brisé de douleur que je Vous demande mille et mille fois pardon de toutes ces indignités. Que ne puis-je, mon Dieu, arroser de mes larmes et laver de mon sang tous les lieux où votre Sacré Cœur a été si horriblement outragé, et les marques de votre divin amour reçues avec un mépris si étrange ! Que ne puis-je, par quelque nouveau genre d'hommage, d'humiliation et d'anéantissement, expier tant de sacrilèges et de profanations ! Que ne puis-je pour un moment être le maître du cœur de tous les hommes, pour compenser en quelque manière, par le sacrifice que je Vous en ferais, l'oubli et l'insensibilité de tous ceux qui n'ont pas voulu Vous connaître, ou qui Vous ayant connu Vous ont si peu aimé !
Mais, ô mon aimable Sauveur, ce qui me couvre encore plus de confusion, ce qui doit me faire gémir davantage, c'est que j'ai été moi-même du nombre de ces ingrats. Mon Dieu, qui voyez le fond de mon cœur, Vous savez la douleur que je sens de mes ingratitudes et le regret que j'ai de Vous voir si indignement traité. Vous savez la disposition où je suis de tout souffrir et de tout faire pour les effacer. Me voici donc, Seigneur, le cœur brisé de douleur, humilié et prosterné, prêt à recevoir de votre main tout ce qu'Il vous plaira d'exiger de moi. Frappez, Seigneur, frappez ; je bénirai et je baiserai cent fois la main qui exercera sur moi un si juste châtiment. Que ne suis-je une victime propre à réparer tant d'injures, trop heureux si je pouvais par tous les tourments Vous dédommager de tant de mépris et de tant d'impiétés ! Que si je ne mérite pas cette grâce, du moins agréez le véritable désir que j'en ai.
Recevez, Père éternel, cette amende honorable en union de celle que ce Sacré Cœur Vous en fit sur le Calvaire et que Marie Vous en fit elle-même au pied de la croix de son Fils ; et par la prière que son Cœur Vous en adresse, pardonnez-moi tant d'indignités et tant d'irrévérences commises, et rendez efficaces, par votre grâce, la volonté que j'ai et la résolution que je prends de ne rien oublier pour aimer ardemment, et pour honorer par toutes les voies possibles, mon Souverain, mon Sauveur et mon Juge, que je crois réellement présent dans l'adorable Eucharistie, et où je prétends faire voir désormais par le respect dans lequel je serai en sa présence, et par mon assiduité à Lui faire la cour, que je Le crois réellement présent. Et comme je fais profession d'honorer singulièrement son Sacré Cœur, c'est aussi dans ce même Cœur que je veux passer le reste de ma vie. Accordez-moi la grâce que je Vous demande de rendre dans ce même Cœur le dernier soupir à l'heure de ma mort. Ainsi soit-il.

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Amende honorable au Sacré Cœur de l'Enfant Jésus (XIX°)

Cette formule d'amende honorable figurait, ainsi que la suivante, dans le Manuel de Piété à l'usage des élèves du Sacré-Cœur, en usage dès 1835, et composé par le Père Le Baillif, chanoine de la cathédrale du Mans et aumônier du Sacré-Cœur (Paris, Lecoffre Fils et Cie, nouvelle éd., 1871).

Je viens me prosterner devant vous, ô aimable Jésus ! pour vous faire amende honorable de mon ingratitude envers vous : je suis obligée de l'avouer, les traits qui déchirent le plus douloureusement votre Cœur partent du mien, pour lequel vous avez épuisé votre amour et vos miséricordes. C'est pour moi que je vous vois, dès votre enfance, environné de misères, reposant sur la paille et versant des larmes d'amour ; c'est pour moi que vous passez votre vie dans la pauvreté, le travail et les contradictions, que vous expirez dans le mépris et la douleur sur le lit de la croix. Votre amour, ô bon Jésus ! a été plus loin que la mort : il vous a suggéré le moyen de rester avec moi dans cette vallée de larmes, pour me soulager dans mes misères, me fortifier dans mes faiblesses, me consoler dans mon exil : et que ne vous en a-t-il pas coûté, ô mon Dieu ! pour me donner cette preuve de votre amour ? Il a fallu anéantir votre grandeur, obéir à votre créature, vous exposer aux outrages, aux blasphèmes, à l'indifférence, à l'oubli de vos propres enfants. Qu'ai-je fait pour reconnaître tant d'amour ? Hélas ! je ne vous ai point aimé ; je ne me suis pas occupée de vos intérêts ; je n'ai point été assidue à vous visiter, fervente à vous recevoir, fidèle à écouter votre voix : à peine ai-je pensé à vous. Combien de fois la dissipation, les créatures, la vanité, les bagatelles, ont-elles occupé mon esprit, jusqu'au pied de votre Tabernacle ? Combien de fois, vous possédant dans mon cœur, vous ai-je laissé seul sans vous entretenir ?… Que vous dirai-je pour m'excuser ? Ah ! Seigneur, il ne me reste qu'à m'anéantir. Pardonnez à une coupable qui reconnaît son ingratitude ; ne rejetez pas un cœur contrit et humilié : vous m'avez dit de venir à vous quand je serais accablée du poids de ma misère ; daignez me soulager, me guérir et me permettre encore de vous aimer. Et qu'aimerais-je, ô Dieu d'amour ! si je ne vous aimais pas, vous qui possédez toutes les perfections et toutes les amabilités ? Ah ! que désormais mon cœur ne soupire plus que pour vous ; qu'il se fonde et se consume au seul mot de crèche, de croix, d'Eucharistie. Vous aimer, ô mon Jésus ! et ne plus vivre que pour votre amour, c'est tout ce que je désire pour le temps et pour l'éternité. Ainsi soit-il.

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Amende honorable au Sacré Cœur de Jésus

Cœur de Jésus, adorable sanctuaire de l'amour d'un Dieu pour les hommes, pourrons-nous jamais assez déplorer l'excès de nos ingratitudes à votre égard ? O Dieu ! vous nous aviez aimées de toute éternité, vous nous aviez crées à votre image, vous ne nous aviez donné l'être que pour répandre sur nous les biens dont vous êtes la source, et vous satisfaire pleinement en nous rendant éternellement heureuses. Quand l'homme, en devenant coupable, a méconnu votre amour, alors plus libéral et plus miséricordieux que jamais, vous avez daigné vous anéantir pour nous racheter, jusqu'à prendre la forme d'esclave ; vous avez paru sur la terre comme le plus aimable des enfants des hommes ; vous avez pris un cœur comme le nôtre, pour forcer nos cœurs à vous aimer. Cœur divin, Cœur embrasé des plus vives flammes de la charité, vous avez réuni en vous-même nos misères et nos douleurs. Cœur infiniment saint, source très-pure de la justice et de l'innocence, vous avez porté les iniquités du monde, vous en avez épuisé l'amertume, vous avez été percé pour nos crimes, et, avec votre Sang adorable, vous avez répandu sur la terre les bénédictions qui la consolent et les grâces qui la purifient. Rien n'a pu ralentir l'ardeur de votre charité, ni les souffrances et les travaux de votre vie entière, ni les douleurs et les ignominies de votre croix, ni l'ingratitude monstrueuse dont les hommes ont payé vos bienfaits : vous avez mis le comble à tant de merveilles en vous donnant vous-même pour nourriture aux enfants des hommes ; et nous, Seigneur, à tant d'amour nous avons opposé nos crimes. Nous vous avons méconnu, nous vous avons oublié et nous ne cessons de combler, par de nouveaux outrages, la mesure de nos iniquités. Les hommes ne veulent plus vous aimer, hélas ! ils ne veulent plus vous connaître ; chaque jour, votre loi périt, et l'on voit s'effacer jusqu'au souvenir de votre nom ; vos temples sont déserts, vos sacrements abandonnés, votre religion méconnue. Les chrétiens, enivrés de l'amour des faux plaisirs, des biens périssables du monde, ne se souviennent de votre amour que pour contrister votre Cœur par l'indifférence, ou pour l'outrager par leurs désordres. O mon Dieu ! trouvez-vous encore des cœurs fidèles sur la terre ? Parmi ceux même qui vous connaissent, en est-il d'assez heureux pour vous rendre amour pour amour ? pour nous, dont vous avez daigné vous souvenir dans votre miséricorde, si nous ne vous aimons pas encore autant que le mérite votre tendresse, du moins, vous le savez, nous désirons vous aimer. Du haut de votre trône éternel, abaissez vos regards sur ce petit nombre d'âmes fidèles que la douleur, la reconnaissance et l'amour amènent en ce moment à vos pieds. Ah ! que ne pouvons-nous, par le sacrifice entier de nous-mêmes, vous rendre toute la gloire que le monde et l'enfer s'efforcent de vous ravir ! Oui, nous viendrions effacer par nos larmes tant de crimes qui percent votre Cœur divin ; heureux s'il nous était donné de les laver dans notre sang ! Mais qui pourrait, ô mon Dieu ! réparer votre gloire outragée ? qui le pourrait, si ce n'est vous-même ?… C'est donc à votre Cœur adorable que nous avons recours en faveur de ceux qui vous méconnaissent. O Cœur miséricordieux ! pardonnez à des aveugles, à des ingrates ; ou, s'il faut que vous soyez vengé, vengez-vous comme il convient à votre gloire : lancez sur nous, Seigneur, non les fléaux de votre colère, mais les traits enflammés de votre amour… Que, devenues la conquête de cet amour infini, nous en soyons toutes et pour toujours les disciples et les apôtres, et qu'après avoir pratiqué les vertus qu'il nous commande, nous puissions partager un jour le bonheur que vous nous promettez. Ainsi soit-il.

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Amende honorable pour la France (Février 1871)

Elle fut rédigée par Adolphe Baudon (1819-1888), président de la Société Saint-Vincent de Paul de 1848 à 1886. On lui doit une cinquantaine d'ouvrages de piété, dont un Mois du Sacré-Cœur (1872).

Seigneur, vous nous avez dit : « Cherchez d'abord le Royaume de Dieu, et tout le reste vous sera donné par surcroît. » Dociles à cette parole, nous venons, au milieu des calamités présentes, vous demander la conversion des âmes si nombreuses, qui, dans la France entière, sont encore si loin de vous. Si notre prière est exaucée, nous avons confiance qu'alors vous daignerez mettre fin à nos maux.
Nous avons offensé votre justice, Seigneur, et notre nation vous a été infidèle. Comblée de vos bienfaits, elle les a oubliés ; elle a voulu vivre loin de vous, et bannir de ses mœurs et de ses lois jusqu'à votre souvenir : elle a toléré que des voix impies vinssent blasphémer votre saint nom, nier votre gouvernement des choses de ce monde, et jusqu'à votre existence ; rompant publiquement avec les préceptes du Sinaï et de l'Eglise, elle a violé vos sabbats, méprisé vos jeûnes, abaissé la dignité du mariage et laissé pénétrer dans l'éducation, jusque-là si religieuse de ses enfants, l'indifférence ou même l'athéisme. Ce péché, pour ainsi dire national, a amené sur nous, Seigneur, les fléaux dont nous gémissons. C'est à cause de lui qu'a été humiliée, vaincue cette France, si longtemps triomphante alors qu'elle se vantait d'être la fille aînée de l'Eglise. Mais ce n'est pas seulement parce qu'il a attiré nos malheurs que nous pleurons ce péché devant vous, c'est surtout parce qu'il a outragé votre majesté infinie, et qu'il a été le mépris réfléchi de votre loi et l'abandon systématique de votre culte.
Cette volonté arrêtée de vous bannir de notre nation est l'iniquité que nous désavouons solennellement, et celle que nous prenons la résolution de travailler avec plus d'ardeur à faire réparer. Saints patrons de la France et saints évêques qui l'aviez faite si chrétienne, saints martyrs et saints pénitents qui avez arrosé son sol de votre sang et de vos sueurs, saint Joseph qui êtes la providence visible de ceux qui souffrent, et Marie, conçue sans péché, vous à qui la France a consacré tant de sanctuaires, et sous des noms si chers à nos pères, priez, priez pour nous. - Recevez l'amende honorable que nous faisons ici pour notre pays, et présentez-la au Père des miséricordes, à Notre Seigneur Jésus-Christ, le divin Rédempteur, et à l'esprit de lumière, qui touche et convertit les âmes, afin de la faire favorablement accepter, malgré nos iniquités passées. - Ainsi soit-il !

Bulletin de la Société Saint-Vincent de Paul n°267, mars 1871, in Jacques Benoist, le Sacré-Cœur de Montmartre de 1870 à nos jours, Paris, Editions ouvrières, coll. Patrimoine, 1992.

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Amende honorable en usage dans la chapelle du Vœu national

Dans l'attente de la construction de la basilique du Vœu national (qui deviendra la basilique du Sacré-Cœur), et conformément au vœu de Pie IX ("La construction de l'édifice sera bien longue, il faudrait que la prière puisse commencer à Montmartre avant son achèvement"), une chapelle provisoire est construite à proximité, et inaugurée le 3 mars 1876 par le cardinal Guibert. C'est en cette chapelle qu'en la nuit du 27 au 28 février 1881 sera inaugurée l'adoration perpétuelle du Saint Sacrement, jusqu'à son transfert dans la grande Basilique le 1° août 1885. Le texte ci-dessous est celui qui était en vigueur en cette chapelle provisoire, où pèlerins se succédèrent sans interruption dès son inauguration.

O Jésus, mon divin Maître, Sauveur adorable de tous les hommes, qui vous êtes mis sous les voiles de cette hostie par un effet incompréhensible de l'amour de votre Cœur, voici des criminels prosternés devant vous, vivement touchés des offenses qui ont été commises contre votre souveraine Majesté. Nous sommes ici assemblés pour lui en faire amende honorable, publique et solennelle, et pour réparer, selon notre pouvoir, tant d'injures commises contre votre personne sacrée, pendant tout le cours de votre sainte vie et de votre douloureuse Passion, et toutes celles qu'on vous a faites dans l'adorable Eucharistie, qui est le plus grand miracle de votre amour pour les hommes.
Que n'avons-nous des larmes de sang pour pleurer incessamment nos perfidies et nos ingratitudes envers le plus aimable de tous les rois et le plus doux de tous les cœurs qui par la générosité de son amour, a redoublé ses tendresses, lors même que nous l'avons traité avec plus de mépris ! Pardon, Seigneur, pardon de tant de communions indignes et sacrilèges, de tant de profanations et d'attentats dignes de l'horreur et de l'exécration de tous les siècles, de tant d'irrévérences dans vos temples sacrés ! Pardon, Seigneur, de la dureté de nos cœurs, de l'égarement de nos pensées, de l'oubli que nous faisons d'une bonté et d'un amour tels que les vôtres !
Venez, ministres du Très-Haut, venez, peuple fidèle, venez, vierges, épouses de l'Agneau sans tache ; adorons notre Dieu, qui nous a formés à son image ; prosternez-vous devant lui, pleurons ensemble au pied du saint autel sur les douleurs que nous avons faites au Cœur de Jésus, qui nous a rachetés de son sang, sanctifiés par sa grâce, comblés de bienfaits en nous donnant généreusement tout ce qu'il a et tout ce qu'il est.
Et vous, Seigneur, daignez agréer nos larmes, pardonner à notre repentir, et nous unir à vous, tout indignes que nous en sommes, dans votre Cœur adorable, auquel nous consacrons les nôtres, pour l'aimer et l'adorer dans le temps et dans l'éternité, et par lui-même rendre à votre Père le culte que nous lui devons.
Ainsi soit-il.



Le Sacré-Coeur de Jésus - Deux mille ans de Miséricorde
Le Sacré-Coeur de Jésus
Deux mille ans de Miséricorde


Le recueil qui est reproduit dans les pages de ce dossier avait trouvé un éditeur, Téqui, en juin 2008.

Une version considérablement enrichie, et actualisée jusqu'en juin 2019, est disponible à la vente chez le même éditeur depuis le 4 décembre 2019, en ligne sur son site internet ICI.

Merci de faire connaître autour de vous la nouvelle version de ce travail, augmentée de plus de 200 pages par rapport à la première édition.

« Les personnes qui propageront cette dévotion, auront leur nom inscrit dans mon Cœur, et il ne sera jamais effacé. »
(11ème promesse du Sacré-Coeur à sainte Marguerite-Marie)